Villa Maria
Dans ses lignes extérieures, aussi bien d’ailleurs que dans son aménagement intérieur, la « Villa Maria » est restée à très peu près identique au « Poste des Douanes ». C’est assez dire qu’elle constitue une habitation des plus modestes à tous égards. Mais, ce qui en fait sans contredit l’une des villas les plus charmantes qui soient, c’est son site merveilleux qui égale les sites les plus admirés de cette Côte d’Azur pourtant si riche en décors féeriques.
La terrasse de la Villa était primitivement rectangulaire, assez étroite et munie d’un simple garde-fou mi partie de fer et de bois rustique. En 1883, elle a été élargie en demi-cercle et bordée d’une gracieuse balustrade en pierre. Les deux superbes chênes verts qui l’encadrent si joliment et la couvrent de leur ombre ont été plantés à l’époque de la construction.
Notes et références
Le vieux Léoube – Henri Vincent – 1914 (inédit)